Patos au Brésil mon coup de cœur
J’ai trouvé en Patos tout ce que je cherchais d’un spot de kite typiquement brésilien. J’y ai fait mes plus belles sessions de kite du voyage.
Outre les downwinders, il y a peu de monde dans les lagunes. Le vent est fort et stable. Pour s’y rendre, il faut un véhicule (pneus dégonflés) pour rouler dans le sable ou un buggy. Il s’agit d’un petit village peu fréquenté par les touristes.
Photo: Isabelle Emond, poussada à Olivier à Patos
Sur la photo plus bas, un jeune pêcheur avec qui nous avons partagé le plan d’eau. Cherchait-il à me dire qu’on envahissait son territoire de pêche? Son lieu de travail, peut-être?
J’ai entendu qu’à Patos l’accès à la propriété est plus difficile pour les étrangers. Une mesure prise pour éviter le développement trop important du tourisme est en vigueur. Un réflexe que je comprends quand on voit les conséquences de l’industrie du tourisme sur une population locale. Est-ce que la cohabitation peut exister de façon harmonieuse? Est-ce qu’on est prêt comme voyageurs à s’y rendre de façon responsable?
Photo: Isabelle Emond, village de Patos
Est-ce qu’on s’y prépare avant de venir? Est-ce que les communautés seraient enclines à nous communiquer des consignes à respecter pour partager l’espace? Est-ce qu’au contraire le tourisme et le développement des infrastructures garderaient les ados dans les villages, évitant l’exode? Plein de questions non répondues que j’aurais pu connaître si j’avais mieux maitrisé le portugais. On continu duo lingo!
Photo: Isabelle Emond, pêcheur
Photo: Isabelle Emond - l’amoureux heureux
Photo: Dominique Fournier
Photo: Isabelle Emond, on charge pour l’expédition!
Photo: Isabelle Emond
Photo: Dominique Fournier - Kitespot à Patos
Photo: Isabelle Emond - Kite Patos et lentille tachée